Un petit point sur les actions du mois de janvier :


- email à l'agence presse AP dans laquelle travaille le photographe Allauddin Khah
- email au journal le Monde, qui utilise souvent ses photos
- email à l'ambassadeur de france en poste à Kaboul, Mr Jean de Ponton d'Amécourt
- email à l'organisme gouvernemental Canadien pour la reconstruction en Afghanistan
- email à United Nations Development Fund for Women Afghanistan (Unifem)

Pas de réactions pour le moment...

J'ai également repris contact avec une personne qui m'avait envoyé un message parce qu'elle connait Sarah Chayes. Le temps qui  a passé ne joue pas en ma faveur, mais elle va tenter de faire avancer les choses de son côté.

Et enfin, voici la photo originale retrouvée par un lecteur plus perspicace que moi en moteurs de recherches.

Et pour finir cette note sur un sourire :

pour d'autres drôles de dessins : www.grosjean.com

C'est vrai...je me suis dis, demain, demain je m'y remets, demain je contacte untel, demain, je fouille sur le net pour trouver ceci ou cela. Et nous sommes tout début 2010.
Cela fait longtemps que je n'ai pas donné de nouvelles.
Si, grâce à vous, j'ai touché à une moitié du but, et que j'ai pu réaliser le poster,  je devais encore trouver un moyen de le faire parvenir.
Les vacances sont arrivées, puis la rentrée de septembre, et je me suis laissée décourager par le silence des gens que j'ai contactés.
Je ne me souviens pas de tous ceux à qui j'ai envoyé un message, mais entre autres, une ancienne journaliste qui vit à Kandahar, et surtout j'ai tenté de joindre le magasine ROZ, seul féminin Afghan via Elle.com, j'ai laissé un message au groupe "Afghanistan Libre" sur leur site et sur Facebook (et étroitement lié à ce même magasine), qui m'a accepté en contact mais qui ne m'a jamais répondu à ma demande.

Lassée par ce silence, happée par ma vie quotidienne, j'ai laissé passer le temps.

Petit à petit, j'ai trouvé que j'avais été bien prétentieuse de croire que ça pouvait intéresser les gens qui pouvaient donner un coup de main. Pourtant, un lecteur avait réussi à trouver le nom du photographe et deux lectrices canadiennes pouvaient peut être contacter cette journaliste sur place. Ce sont deux pistes qu'il me reste donc à explorer même si j'ai peu d'espoir finalement. J'ai bien compris que cette région est une des plus dangereuses, les femmes et les hommes qui aident ont certainement d'autres chats à fouetter.

C'est donc la première des cinq bonnes résolutions qui sont à mettre en œuvre à partir de demain matin.

Bonne année 2010 à vous tous.